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Mon monde
23 avril 2007

une petite histoire

Un amour au bort de la mort        (de Conquet Laurent)

Je me souvien d'un jour où je marchais dans la rue, seul, comme j'avais appris a
le faire depuis de longue année passer. Peu de personne dans le lycée ou j'étais
m'appressier, je ne sais pas ce que je leur est fait, es ce simplement, le fait d'être
"different" qui m'a valus les coups que j'ai reçus étant petit. Pourtant, j'ai deux
mains, deux pieds, deux yeux, comme toutes les personnes que j'ai croiser jusqu'a
aujourd'hui, mais avec tout les points communs que j'ai avec les autres, on dit de
moi que je suis "different". Es ce parce que je n'ai pa voulu suivre les autres la ou
ils allaient, faire les meme bétise qu'ils faisaient, avoir les meme fringues qu'ils
avaient. Je ne sais pas. Enfin bref, je n'étais pas très populaire. Donc ce jour ou je
me balader, je traversa sans regarder, et une voiture arriva a toute vitesse, me
percuta et me planta la sur le trotoire. Il ne sais meme pas donner la peine de voir si
j'allais bien. Une femme passa quelque seconde plus tard, moi qui gisais sur le sol qui
prener une couleur rouge, cette femme passa son chemin magret mes appel a l'aide,
je parler peut etre pas assez fort, quoi qu'il en soit, elle continua son chemin.
Quelque seconde encore plus tard, les bandes blanche sur le sol ne se voyais plus,
elles avais laisser place a des bandes rouge tres flachant. Soudain, je vis une fille,
elle devais avoir mon age. Elle me vis, et coura vers moi. Je lui tendis ma main, elle
l'a pris, me regarda et appela des secoures avec son portable. Je la regarda dans les
yeux, et lui dit:"Vous savez, c'est la première fois qu'une personne s'iteresse a moi"
Elle me regarda et me répondis que c'étais aussi la première fois qu'elle voyer une
personne aussi mal en point. Cette réponce me fit rire et en meme temps je me fit
mal en riant. Je la regarda mieux et m'appersu qu'elle étais du meme lycée que moi.
Elle Me regarda, est me dit:
"Tien bon les secoure arrive, il ne faudrai pas que tu meurt alors que j'ai enfin réussi
a te parler.
-Ah, et que voulais tu me dire, tu peux le dire je suis presque mort.
-ne dis pas de bétise, me dit elle, tu va vivre, je veux que tu vive.
-Et pourquoi je viverai, personne ne m'a jamais adresser un seul mot gentil.
-Abon, repondit elle, Alors moi je vais t'en dire un, mais promet moi de ne pas
baisser les bras, de te battre pour vivre.
-D'accore.
-Tu es beau, commensa t-elle a dire, Tu m'a toujours faciner, tu est gentil, du peu
que je te connais. Et je voudrai mieux te connaitre, car il faut que je t'avous une
chose importante...
-Et c'est quoi, cette chose importante?
-Je ... Je t'aime, et c'est pour ça qu'il ne faut pas que tu meurs."

Elle commensa a pleurer, elle pleura sur moi, je commençais a ne plus sentir mes
pieds. Cela faisais bien deux minute que j'étais sur le sol, j'entendis la siren des
pompiers. Tout alla si vite, je ne voyais presque plus rien. Et juste avant de
m'évanouir, j'entendis un pompier demander a cette fille si elle était de la famille, est
elle leur répondis:"non, mais je suis sa petite amie, emmener moi avec vous.". Après,
je revis ma vie passer devant mes yeux comme un films, je me suis dit que j'allais
bientot mourir. Puis d'un seul coup j'atteris dans un couloir, d'un coter il y avait une
lumière blanche de l'autre une lumière grise. Je me demanda quelle direction il falais
prendre, je commensa a marcher vers la lumère grise, et plus j'avancer plus elle
s'intencifier. Puis d'un seul coup, plus rien, j'ouvris les yeux et vis cette fille, celle
qui m'avait sauver la vie, elle avait attendu mon réveil, elle devais être telement
épuiser qu'elle s'était endormis. Je la laissa dormir, et me rendormi.

Le lendemain matin, je me réveilla, elle était toujours la sauf que la elle ne dormais
plus. Elle me demanda comment sa aller, et je lui et répondu:"Moi aussi", Elle ne
comprit pas pourquoi j'avais dit sa donc je compléta ma phrase:"Moi aussi, je ...
t'aime", J'avais quand meme du mal a parler, Mais elle compris cette fois. Et depuis
ce jour, nous ne nous sommes plus quiter. je voie la vis comme elle viens, et je
remerci ce chauffar, car grace a lui j'ai maintenant trouver une fille qui m'aime.

Maural: Ce n'ai pas parce que l'on ne vous montre pas que l'on vous aime que ce
n'ai pas le cas, garder espoir, quelqu'un, dans un coins, vous aime. Et n'attender
pas comme cette fille que l'amour de votre vie est quelque chose de grave pour
lui dire, car il n'aura peut etre pas autant de chance que dans mon histoire.

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Commentaires
D
jador ton istoir (é pui ken lé fote on sen fou é le rest ya ke toi ke sa intéress lol)
D
bon laulo fo kon parle<br /> c pa pour tou casser mais je sui décu<br /> PUTAIN DE BORDEL DE MERDE REVISE TON IMPARFAIT SIL TE PLAI SA DEVIEN ORIBLE tu écri "je comancA"<br /> c est "je commencais"<br /> regle: a l imparfait les terminaison son -ais; -ais;-ait;-ions;-iez;-aient.<br /> voila ;)<br /> bon sinon c kan kil la baise???
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